un Roméo d'Halloween, sans doute... Juliette attend Roméo au soleil persistant de cette fin octobre aux cieux beaucoup trop bleus Un automne sec en rose et blanc Hors concours : ma Grand-mère, le 14 juillet 1900, apercevant un ballon de l'exposition universelle au dessus des toits...
Non. Ça ne passe pas mieux en noir et blanc. Pour moi, en tous les cas ; j'en ai ras le bol de voir des femmes à poil à tout bout de champ de vision.
RépondreSupprimerMa remarque n'ôte rien à la beauté du cliché, à sa composition bien équilibrée. C'est une belle photo, je ne le nierai jamais.
Mais... C'est une femme à poil. Une objectivisation de plus de la femme dans un monde où on est déjà tout le temps considérées comme une plus-value à la vente.
Je suis désolée de ne pas trouver de mots pour être plus positive dans mon commentaire, parce que je viens de parcourir un peu ton blog, et tu fais de très belle photo.
Je vois beaucoup de talent ici, n'en doute pas. C'est le sujet, qui m'exaspère, par rapport à mon ressenti personnel, mon vécu, etc.
Voilà c'est tout. Je tenais à le préciser, parce que je ne veux pas que tu crois que je critique juste pour être méchante.
Merci pour la version N&B qui je le pense rend mieux hommage à Willy Ronis que la version couleur.
RépondreSupprimerLa Monnaie de Paris a présenté l’exposition de photographies « Willy Ronis, une poétique de l’engagement », du 16 avril au 22 août 2010, et sur le site http://www.tout-paris.org/exposition-willy-ronis-monnaie-de-paris-8953
la première photo qui apparaît est sans doute celle qui t'a inspiré même si c'est la fenêtre et non la porte qui est ouverte.
Adepte du noir et blanc, je reste là sur mes positions : le jaune convient bien à cette image. C'est la lumière qui m'a plu dans cette photo!
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